Au Burkina Faso, les taux de mortalité maternelle de 341 pour 100 000 naissances vivantes, et néo-natale de 28 pour
1000, demeurent élevés. L’un des facteurs explicatifs de ces chiffres réside dans la qualité des soins offerts aux
femmes et aux nouveau-nés. Au bout de l’index accusateur, les « jeunes » sages-femmes et maïeuticiens d’état dont
les formations de base se révèlent insuffisantes à l’épreuve de la pratique. Comme solution, le pays a expérimenté
le mentorat, un système de formation continue novateur. Découverte…